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Fiche d’introduction
L’Art mexicain 1920 - 1960. Éloge du corps évoque la typologie artistique et sociale du Mexique moderne. L’objectif primordial de cette exposition est de nous amener à réfléchir sur la représentation du corps en tant que synthèse de la diversité culturelle mexicaine. À travers les différentes conceptions du corporel, on pourra voir s’insinuer différents imaginaires ainsi que divers fils narratifs et mythologies visuelles ayant légitimé la nation mexicaine ; et ce, non seulement à partir d’un point de vue nationaliste, mais également à partir d’autres discours culturels et nationalistes qui ont remis en question ce qu’on appelle la mexicanité.
La diversité d’images corporelles devient alors le reflet d’une culture visuelle et matérielle ayant cherché à se perpétuer à travers des espaces symboliques persistant encore aujourd’hui. Le corps en soi constitue un horizon culturel et temporel susceptible d’être déchiffré et l’endroit où nous projetons nos aspirations quant à la réalité.
Grâce à cette initiative de la part des autorités culturelles de Biarritz, cette exposition voit maintenant le jour : elle nous donnera l’occasion de comprendre le processus de consolidation d’une nation qui, suite à la Révolution Mexicaine (1910-1921), s’est caractérisée par sa complexité historique et sa quête de modernité.
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Le corps en tant qu’allégorie et matière nationaliste
Les œuvres présentées dans cette section mettront en valeur la représentation du corps en tant que ressource émergente du nationalisme culturel de l’époque. Suite à la victoire de la Révolution Mexicaine (1921), les discours visuels faisaient état d’un souci accru pour consolider une image nettement mexicaine capable de répondre aux intérêts de l’État post-révolutionnaire. On y définissait une ligne à suivre favorisant les représentations indigénistes, populaires et ouvrières, qui par la suite menèrent à une folklorisation de ce qui est typiquement mexicain. Ainsi, le corps autochtone —dans sa version masculine et féminine— se trouva idéalisé à travers les différentes images qui le représentaient : murales, peintures, sculptures, gravures, photographies, et même, cinématographie. L’idée de peuple que le nationalisme culturel mettait ende l’avant se trouva ratifiée à partir d’un métissage puisant dans une histoire glorieuse (les racines de l’autochtone précolombien) et un projet de nation moderne. Aux dires de José Vasconcelos, Ministre de l’Éducation et promoteur du muralisme dans les années vingt, le personnage autochtone était conçu comme “un pont de métissage convenable”, ce qui en faisait un symbole idéologique du nouveau régime, mais il témoignait également d’un passé idyllique.
IMÁGENES
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Le corps politique
Le corps et ses métaphores constituèrent un terrain de contention pour l’État post-révolutionnaire mexicain, et la façon dont ilaborda le sujet, en termes rhétoriques, donna lieu à de nouvelles significations politiques et esthétiques que l’on tenta d’inculquer à la société. Des artistes notables comme Diego Rivera, David Alfaro Siqueiros et José Clemente Orozco consacrèrent leur talent à peindre sur des murs de grande surface un discours évocateur d’une régénération politique et sociale. Dans leur œuvre peinte sur chevalet, on retrouve de très nombreuses représentations corporelles de personnages autochtones, de paysans, de maîtres d’école et d’ouvriers, qui se constituèrent en éléments d’une conversion laïque. Dans cette section, nous pourrons voir différentes œuvres exprimant une opposition entre l’imaginaire masculin et féminin du corps. D’une part, nous assistons à la création d’un corps fort et viril, élément lui aussi complémentaire à la visualisation d’un corps féminisé. Ceci donna lieu aux personnifications de la Patrie mexicaine et à leurs variations, que ce soit la maîtresse rurale ou les diverses représentations de la maternité. De telles représentations s’érigeaient en symbole d’une société en voie de formation, qui en même temps contextualisait l’avènement du citoyen moderne.
IMÁGENES
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Photographie
À une certaine époque, des politiciens, des intellectuels et des artistes comme Léon Trotsky et André Breton arrivèrent au pays, attirés par le programme socioculturel impulsé par le régime post-révolutionnaire et le projet artistique du muralisme mexicain. L’œuvre de la photographe italienne Tina Modotti, qui vint s’établir au Mexique en 1922 aux côtés d’Edward Weston, fut d’une importance capitale en ce qui concerne la création d’une image moderne de l’indigénisme mexicain. En produisant diverses images, tous deux contribuèrent à resignifier le corps métis par le biais d’un langage photographique avant-gardiste.
Une autre présence fondamentale fut celle du réalisateur Paul Strand, un photographe américain qui séjourna au Mexique au début des années trente, et que l’on engagea pour y réaliser les plans fixes du film Redes (1934). On y présentait le Mexique comme un pays d’une nature prodigue où habitait une population victime d’injustice sociale. Les personnages principaux de ce long-métrage témoignent de l’un des paradoxes du Mexique post-révolutionnaire, c’est-à-dire de son entrée dans la modernité.
Le fait de recevoir la visite d’artistes et d’intellectuels étrangers exerça une grande influence sur la création de langages visuels qui à leur tour eurent des répercussions sur la cinématographie nationale. Finalement, on y reproduirsait les configurations stéréotypées et idylliques du Mexique qui semblent encore avoir cours à notre époque.
IMÁGENES
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Le corps séculaire
Tout au long du XXèmeième siècle au Mexique, le corps est redevenu un instrument symbolique graduellement soumis à un processus de sécularisation. Le corps laïque et civil fit l’objet de transformations issues des langages artistiques et visuels, où on le reléguait à un espace intime et quotidien éloigné de son aspect rhétorique.
Dans cette section, nous verrons converger les différents corps qui devinrent les composants d’un nouvel ordre social. Le modèle à suivre rehaussait l’image d’un citoyen urbain et moderne qui évoluait dans les différents espaces publics et qui à maintes reprises se montrait optimiste quant au futur et au progrès national. Suivant ces modes de représentation, le corps et son apparence deviennent des allégories exaltant l’auto-affirmation personnelle et collective. C‘est pourquoi, grâce au caractère subjectif que mettent en cause les mouvements d’avant-garde artistique européens, le corps en tant que sujet a signifié une voie d’expression innovatrice ayant renoncé dans une grande mesure à la mexicanité.
IMÁGENES
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Analyse de quelques oeuvres par section
I.Le corps allégorique et nationaliste
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La meunière, 1925
Encaustique sur toile
Diego Rivera (1886-1957)
Musée d’Art National, INBA
Ce tableau montre une variation des personnages que Diego Rivera a peints sur les murs de l’édifice du Ministère de l’Éducation au début des années vingt. Au cœur de son travail quotidien, le corps de cette femme autochtone est mis en évidence tant il est massif, en dette avec la statuaire pré-hispanique. On y voit un personnage féminin, de profil et vêtu d’une robe blanche qui fait ressortir ses caractéristiques raciales, en train de moudre du maïs sur une pierre à moudre traditionnelle, tandis que le détail ethnographique se manifeste en comal recouvert de tortillas. La meunière est d’ailleurs devenue un thème réitératif dans la peinture de Rivera. -
Femme avec un metate, 1931
David Alfaro Siqueiros (1896-1974)
Acrylique et pyroxiline sur de la jute
Banque Nationale du Mexique
Ce tableau de Siqueiros présente une femme au torse nu en train de moudre du maïs sur un metate (pierre à moudre). Contrairement à la représentation similaire qu’a pu en faire Rivera, ce corps féminin pourrait être associé aux déités précolombiennes, surtout celles qui ont rapport à la fertilité de la terre. Siqueiros met aussi en évidence des volumes et des formes nets, ce à quoi s’ajoute la matérialité et la texture de la surface peinte. -
Le ballon, 1930
Ramón Cano Manilla (1883-1947)
Acrylique sur toile
Musée d’Art National, INBA
Le ballon évoque le milieu rural mexicain vu comme un éden retrouvé face à une modernité urbaine en pleine ascension. La campagne, avec son air de province, devint d’ailleurs le lieu idéal d’édification de stéréotypes : on y met en valeur l’accoutrement du peuple, chez des personnages comme le fermier, les la femme portant le châle, panier en main, et l’homme vêtu de salopettes. On y voit une architecture locale faite de bâtiments en adobe (brique de terre crue) et aux toits de paille, entourés de bétail et de champs ensemencés. Finalement, au fond, s’élève le volcan Popocatépetl, l’un des symboles nationaux par excellence.
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Analyse de quelques oeuvres par section
II. Le corps politique
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Sacrifice humain, 1947
José Clemente Orozco
Pyroxiline sur masonite
Banque Nationale du Mexique
José Clemente Orozco a transposé tant dans son oeuvre murale que dans sa peinture sur chevalet sa propre vision de la conquête du Mexique et de l’affrontement entre deux cosmovisions. Dans un univers plastique peuplé de scènes de batailles, d’exploits guerriers, de fractions de corps humains, de rites et de sacrifices préhispaniques s’est manifestée une critique tant de la barbarie que de la civilisation. Dans ce tableau, le corps sacrifié symbolise la destruction du monde autochtone, représentée avec beaucoup de réalisme et de cruauté expressive. Orozco y offre ainsi une représentation tragique, digne d’épopée, de l’histoire : la conquête, malgré la barbarie et la violence dont elle a fait état, était conçue comme une partie essentielle du discours de la nationalité mexicaine. -
Auto-portrait, 1945 "El Coronelazo"
David Alfaro Siqueiros
Pyroxiline sur célotex
Musée d’Art National, INBA
Tout au long de sa carrière, David Alfaro Siqueiros manifesta un intérêt militaire certain, ayant même participé activement à la Guerre Civile Espagnole. Ce tableau fait montre de cet intérêt personnel : le peintre s’y assume certainement comme une figure militaire hiérarchique, dotée d’un certain pouvoir grâce à sa gestualité et son dynamisme. Le muraliste inaugure ici une vision mythique et grandiloquente de lui-même qui correspondait en outre à la radicalisation de son art en tant que tremplin politique et idéologique, ce à quoi s’ajoutaient ses traits de personnalité empreints de jactance et de virilité. -
Paysan sacrifié, circa 1954
Francisco Arturo Marín
Bronze
Collection d’un particulier
Sur une base sacrificielle, un cadavre exposé et presque disséqué apparaît dépouillé de toute masse musculaire et de structure osseuse, tandis qu’une femme se couvre le visage de ses mains, geste qui rend sa douleur évidente. La composition obéit aux normes conventionnelles d’une pietà ou d’un préambule à la scène mariale de la lamentation : sur une structure pyramidale, la mère est en larmes, tenant contre son giron son fils mort, en position horizontale ; en montrant ses seins, elle réaffirme sa condition de mère. La conception de cette sculpture dépasse largement l’ambiance purement domestique et a pour effet de créer un espace dévotionnel, également d’ordre public.
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Analyse de quelques oeuvres par section
III.Le corps séculaire
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Joueur de soccer, 1926
Ángel Zárraga
Acrylique sur toile
Collection d’un particulier
Une tâche de grande importante dans le Mexique post-révolutionnaire fut celle d’encourager la pratique du sport. Bien que les sports fussent auparavant réservés aux élites, durant les années vingt et les années trente, on commença à en démocratiser la pratique. Ángel Zárraga, qui vécut longtemps en France, représenta dans son œuvre différentes femmes en train de jouer au soccer dans des espaces ouverts, ce qui dénote certainement une vision liée au rôle des sexes : c’est là que s’opère la transition du rôle des femmes, qui abandonnent la sphère domestique pour accéder à la scène publique. -
La Fête de la Saint Jean, circa 1939
Julio Castellanos
Acrylique sur toile
Banque Nationale du Mexique
La Fête de la Saint Jean évoque la coutume locale bien ancrée qui veut qu’on prenne un bain réglementaire en ce jour particulier. Cette scène énigmatique réalisée par Julio Castellanos nous fait entrevoir un moment en suspens, comme s’il s’agissait d’une vision onirique faisant irruption de façon momentanée au sein de la réalité. Le corps enveloppé de la jeune fille se trouvant au premier plan renvoie à une certaine distanciation avec d’autres corps se trouvant dans la piscine, et qui interagissent librement. -
La conception, 1939
Jesús Guerrero Galván
Acrylique sur toile
Collection Pérez Simón
S’adonnant à une interprétation visuelle du classicisme d’avant-garde des années vingt, le peintre Jesús Guerrero Galván est l’auteur de différentes œuvres où le corps humain apparaît comme contrepoids d’un paysage symbolique caractérisé par sa sérénité et son silence métaphysique. Manifestant un intérêt marqué pour les valeurs plastiques, cet artiste a travaillé en détail les clairs-obscurs, l’atmosphère et le naturalisme, auxquels s’ajoute la qualité des formes sculpturales.
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Analyse de quelques oeuvres par section
IV. Photographie
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Deux femmes de Tehuantepec avec un jicalpextle
Tina Modotti
Tirage photographique sur gélatine d’argent
Musée d’Art National, INBA
Cette image encadre deux femmes de Tehuantepec sortant d’une porte vitrée : l’une apparaît de profil et tient un jicalpextle (grande cruche évasée) sur la tête, tandis que l’autre, le visage légèrement penché, regarde par terre. Toutes deux portent le huipil (poncho de femme) de Oaxaca avec une jupe en coton ornée de volants. Elles ont les cheveux attachés et tressés ; comme une espèce d’attribut, elles tiennent une cruche évasée utilisée pour transporter de l’eau ou du linge. Au moment de descendre l’escalier en briques, elles exhibent toutes deux un port altier digne des femmes de cette localité de l’Isthme de Tehuantepec. Modotti a ainsi capté, de façon idéalisée, le caractère exotique des moeurs locales qui recèle également un côté mythique. -
María Asúnsolo
Manuel Álvarez Bravo
Tirage photographique sur gélatine d’argent
Musée d‘Art National, INBA
La galeriste et la muse María Asúnsolo, l’une des plus belles femmes, et aussi l’une des plus célèbres, du Mexique post-révolutionnaire, apparaît sur cette photo le dos appuyé sur un fauteuil. La scène se prévoit d’un encadrement spécial et d’un jeu d’ombre et de lumière. Le regard du spectateur se déplace horizontalement sur l’image corporelle du personnage principal, alors que son visage est à peine tracé ; par sa position, cette femme nous rappelle La Maja vêtue de Francisco de Goya. Le photographe Álvarez Bravo a donné de la prééminence tant à la silhouette sinueuse qu’à la lumière qui vient directement de la fenêtre, alors qu’il appelle à réfléchir formellement à la fois sur la nature du regard du spectateur, l’attraction visuelle et le rapport particulier s’établissant entre le photographe et son modèle : ce sont de tels éléments qui ont permis à Álvarez Bravo de s’inscrire dans l’avant-garde de la photographie mexicaine moderne.
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Biografías
Pintura
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Alfaro Siqueiros, David (1896 – 1974)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas. Es considerado uno de los máximos exponentes del muralismo mexicano. Participó activamente en el ambiente cultural y político de su época al afiliarse al Partido Comunista y como Secretario del Sindicato de Obreros Técnicos, Pintores y Escultores. Fundó La Tallera, considerada la primera escuela de muralismo y arte experimental de América Latina. Muchos de los espacios emblemáticos de la ciudad de México llevan en sus paredes obras de Siqueiros como la Universidad Nacional Autónoma de México, el Polyforum Cultural, el Palacio de Bellas Artes, el Instituto Politécnico Nacional y el Castillo de Chapultepec,entre otros.
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Alva de la Canal, Ramón (1892 – 1985)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes al mismo tiempo que seguía estudios comerciales y administraba el Cine Centenario. Trabajó como “reproductor” de planos y frecuentó la Escuela al Aire Libre de Santa Anita, fundada por Alfredo Ramos Martínez. En 1921 fue contratado como ilustrador para las ediciones de los clásicos emprendida por José Vasconcelos. Participó en Horizonte, publicación promovida por el movimiento artístico conocido como “estridentismo” y en el grupo ¡30-30! Se dedicó a la pintura y la docencia sin dejar de lado su actividad de ilustrador de libros y revistas.
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Amero, Emilio (1901 – 1976)
Realizó estudios formales en la Escuela Nacional de Bellas Artes y en la Escuela al Aire Libre de Santa Anita, en Ixtacalco. Fue miembro del conocido grupo de muralistas post-revolucionarios junto a Diego Rivera, José Clemente Orozco y Carlos Mérida, entre otros. Junto con Jean Charlot fue un entusiasta promotor de la litografía mexicana, revaluando los temas y técnicas del siglo XIX. Fue un artista versátil al trabajar también con óleos y acuarelas e incursionar en la fotografía y el cine.
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Baz Vlaud, Emilio (1918 – 1991)
Es un artista poco conocido en nuestro país aunque su trabajo es valorado por los expertos. Estudió arquitectura y fue alumno del pintor Manuel Rodríguez Lozano. Su primera exhibición fue en 1951 y participó en diversas muestras colectivas junto a eminentes artistas como Siqueiros y Diego Rivera. Su meticulosa técnica en estilo “trompe-l’oeil”, lograda aplicando pintura al óleo sobre superficies secas, fue elogiada por sus colegas y críticos.
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Cano Manilla, Ramón (1883 – 1947)
Artista mexicano nacido en Veracruz en 1888. En su juventud desempeñó diversas labores en el campo, donde nació su interés por los temas campiranos. Se trasladó a la Ciudad de México con el deseo de estudiar pintura, por su entusiasmo recibió el apoyo de Alfredo Ramos Martínez, en ese momento director de la Escuela Nacional de Bellas Artes, quien lo inscribió en la Escuela de Pintura al Aire Libre en Chimalistac. Fue alumno de Leopoldo Méndez y Fermín Revueltas, así como compañero de los pintores Ramón Alva de la Canal y Fernando Leal. Posteriormente fue director de la Escuela de Pintura de Los Reyes en Coyoacán y en 1948 se trasladó a Ciudad Mante, Tamaulipas donde realizó diversos murales e impartió clases.
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Cantú, Federico (1907-1989)
Pintor, grabador, muralista y escultor mexicano que desde corta edad mostró sus habilidades artísticas, estudiando a la edad de catorce años en la Escuela de Pintura al Aire junto con Ramos Martínez. Por diez años viajó por Europa y los Estados Unidos y a su regreso empezó a trabajar la punta seca con Carlos Alvarado Lang. A partir de 1943 enseñó en “La Esmeralda” y después de 1949 fue profesor en la Universidad de California. Creó su último monumento a la memoria de Alfonso Reyes en 1988.
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Castellanos, Julio (1905 - 1947)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes bajo la dirección de Saturnino Herrán y se relacionó con Manuel Rodríguez Lozano con quien realizó diversos viajes presentando una exposición de arte mexicano. A comienzo de los años treinta realizó murales y obras de caballete en las que figuras de fuerte modelado se plantan en un espacio construido con variaciones de perspectiva. Colaboró en diversos murales como el de la biblioteca de Azcapotzalco, realizado por su amigo el pintor Juan O’ Gorman, y ejecutó otros para la Escuela Primaria Héroes de Churubusco, en Coyoacán.
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Charlot, Jean (1898 – 1979)
Nacido en París pero residente en México después de la Primera Guerra Mundial, se identificó completamente con la creciente escena artística mexicana. Compartió un estudio con el pintor Fernando Leal y promovió el grabado en madera y las técnicas litográficas. En 1922 auxilió a Diego Rivera en el mural La Creación y poco después comenzó su composición Masacre en el Templo Mayor, que fue el primer mural pintado como fresco con tema crítico e histórico. Fue editor de la revista Tradiciones Mexicanas y dibujante en la afamada expedición arqueológica a las ruinas mayas en 1927.
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Chávez Morado, José (1909 - 2002)
Estudió en el Instituto de Arte Chouinard en Los Angeles y frecuentó los cursos nocturnos de la Escuela Nacional de Artes Plásticas, donde conoció a Leopoldo Méndez y Fernando Leal. En 1936 integró la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios, LEAR. Fue miembro fundador del Taller de Gráfica Popular y participó en la fundación del Salón de la Plástica Mexicana. En 1974 recibió el Premio Nacional de Artes. Realizó murales en Guanajuato, Guadalajara, Ciudad de México y Jalapa. Su obra aborda el tema del mestizaje y de las costumbres populares.
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Corzas, Francisco (1936 – 1983)
Estudió en la Academia de Pintura y Escultura La Esmeralda bajo la instrucción de Agustín Lazo, Carlos Orozco, María Izquierdo y Juan Soriano. Posteriormente estudió en Europa acrecentando sus conocimientos artísticos. Realizó dos óleos para el Vaticano, así como varias litografías. A su regreso a México le fue otorgada la Mención Honorífica en el Salón de la Plástica Mexicana. Como muchos pintores de su generación, Francisco Corzas se opuso a los principios plásticos que dominaban el ambiente cultural de aquella época. Su obra se caracteriza por la luminosidad de sus fondos, sus desnudos femeninos y por sus criaturas semejantes a fantasmas.
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Cueva del Río, Roberto (1908 – 1988)
Fue un muralista mexicano. A la edad de 15 años trabajó en el taller de dibujo del periódico Excélsior con el caricaturista Ernesto García Cabral. En 1925 ingresó a la Escuela Visiones del cuerpo y lo cotidiano. Reseñna de la pintura mexica de 1920 a 1960 Nacional de Bellas Artes y al año siguiente hizo sus primeros murales en escuelas primarias de la SEP. En 1930 pintó otros murales en Cuernavaca, Morelos. A lo largo de una vida enriquecida por el arte, se dedicó a realizar encargos tanto de murales como de obra de caballete, retratos a presidentes, gobernadores, empresarios y particulares, así como paisajes, héroes nacionales, caricaturas o temas costumbristas.
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Fernández Ledesma, Gabriel (1900 – 1983)
En 1915 organizó el Círculo de Artistas Independientes y dos años después ingresó a la Escuela Nacional de Bellas Artes. En 1926 fundó Forma e integró el grupo de artistas ¡30-30! Fue investigador del arte popular mexicano y en 1930 editó su libro Juguetes Mexicanos. En 1931 formó parte del rodaje ¡Qué viva México! de Eisenstein. En 1934 fue miembro fundador de la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios, LEAR.
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González Camarena, Jorge (1908 – 1981)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes y fue ayudante de Gerardo Murillo, Dr. Atl. Participó activamente en el movimiento estudiantil para llevar a Diego Rivera a la dirección de la Escuela Nacional de Bellas Artes e integró el consejo de maestros y alumnos destinado a formar un plan de estudios avanzado. Pintó varios murales y desde 1966 fue miembro titular del Seminario de Cultura Mexicana. Elaboraba sus pinturas con pigmentos naturales inspirado en las tradiciones de los antiguos mexicanos. Realizó, además, investigaciones sobre arte prehispánico y popular, así como sobre el pensamiento mágico.
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González Serrano, Manuel (1917 – 1960)
Inició su formación como artista de manera autodidacta y, posteriormente, tomó clases de pintura en la Escuela Nacional de Pintura y “La Esmeralda”. Sus primeras obras, de influencia surrealista, tienden a retratar cuestiones maravillosas y fantásticas. Expuso frecuentemente en Estados Unidos pero en sus últimos años se retiró de la escena artística y tuvo largos periodos de inactividad. Su escasa producción, en ocasiones, es conocida sólo por especialistas.
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Gutiérrez, Francisco (1906 – 1945)
Artista mexicano alumno de Germán Gedovius, Francisco Díaz de León y Francisco Goitia. Su primer contacto con el arte lo tuvo al integrarse en el departamento litográfico de una empresa comercial y, posteriormente, se adentró en la historia de la pintura cuando obtuvo un empleo como asistente de librero en la Academia de Bellas Artes. Se interesó en las teorías de Freud y Jung, y como resultado de ello, su trabajo adquirió connotaciones metafísicas y surrealistas. Muere de manera prematura dejando un legado artístico invaluable.
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Guerrero Galván, Jesús (1910 – 1973)
Artista mexicano nacido en Jalisco. Viajó a los Estados Unidos donde comenzó su educación como pintor en la National School of Plastic Arts en San Antonio, Texas. Cuando regresó a México se unió al taller del pintor académico José Vizcarra en Guadalajara, donde se distinguió en la técnica del dibujo. Además de la pintura mural, Galván Guerrero trabajó en pinturas al óleo, litografías e ilustraciones. Se distinguió por la excelencia de sus retratos así como por ser un fino dibujante y colorista.
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Izquierdo, María (1902 – 1955)
En 1928 ingresó en la Escuela Nacional de Bellas Artes donde fue alumna de Germán Gedovius. Se estableció en New York, donde había expuesto en 1929, Entabló una estrecha relación con Rufino Tamayo y por 1932 inició su temática de circo. Organizó una exposición de carteles revolucionarios realizados por mujeres artistas. En 1945 su proyecto de mural para el Palacio Nacional recibió la oposición de Diego Rivera -antes su protector- y de David Alfaro Siqueiros por considerarla sin experiencia en arte mural. Definió su trayectoria bajo la influencia de las ideas de vanguardia así como de diversas manifestaciones de la cultura popular.
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Kahlo, Frida (1907- 1954)
Célebre pintora mexicana cuya vida estuvo marcada por el infortunio y el dolor, sentimientos que plasmó en su vasta obra pictórica. La mayoría de sus cuadros son autorretratos en los que proyectó las dificultades y el sufrimiento en que vivía por causa de las secuelas de un accidente vial ocurrido en su adolescencia. En su obra también puede observarse la inspiración del arte popular mexicano. Aunque en su época fue reconocida por sus compañeros artistas, alcanzó fama y verdadero reconocimiento internacional después de su muerte. No es posible separar la vida personal de Frida de su obra, ya que ésta apunta constantemente a hechos autobiográficos, sin embargo sus pinturas logran ser universales al retratar, magistralmente, sentimientos como el dolor, el desasosiego, la tristeza, el amor, el desamor o el abandono.
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Martínez, Ricardo (1918- 2009)
Pintor autodidacta cuya obra se caracterizó por sus figuras monumentales, desnudos sensuales y atmósferas irreales. Fue el pintor Federico Cantú, quien en sus inicios, lo llevó a la Galería de Arte Mexicano de Inés Amor donde vendió pinturas y aprendió técnicas hacia 1940. Entre sus exposiciones más relevantes destacan las realizadas en el Museo de Arte Moderno de la Ciudad de México en 1969 y 1974, así como en el Museo del Palacio de Bellas Artes en 1984 y 1994.
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Mérida, Carlos (1891 – 1984)
Pintor y escultor de origen guatemalteco, nacido en Quetzaltenango y fallecido en la ciudad de México. Estudia en París y frecuenta los talleres de Anglada Camarasa, Van Dongen y Modigliani. En ese lugar, Mérida frecuenta a Diego Rivera, Angel Zárraga, Roberto Montenegro y Pablo Picasso. En 1914 regresa a Guatemala donde recurre a temas locales y motivos indígenas para su obra. El auge del muralismo en México motiva al artista a unirse al grupo Renacimiento Mexicano al que pertenecen Rivera, Siqueiros y Charlot. Fue, también, miembro fundador del Sindicato de Trabajadores Técnicos, Pintores y Escultores de México.
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Montenegro, Roberto (1881 – 1968)
Pintor, litógrafo, escenógrafo y gran precursor del arte contemporáneo en México. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes bajo la tutela de Julio Ruelas, Antonio Fabrés y Germán Gedovius. Vivió en Europa hasta 1921, donde trabajó con importantes artistas españoles, franceses y belgas. En México, José Vasconcelos lo comisionó para realizar diversos murales en la Secretaria de Educación Pública, en la Escuela Benito Juárez y en la Escuela Nacional de Maestros. Intentó apartar la atención del arte europeo introduciendo el arte popular mexicano al público y fue director del Museo de Artes Populares de Bellas Artes. En 1967 recibió el Premio Nacional de Artes.
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O’ Gorman, Juan (1905-1982)
Arquitecto y pintor mexicano considerado como uno de los creadores más representativos del arte en México del siglo XX. Estudió en la Universidad Nacional Autónoma de México contribuyendo al desarrollo de la arquitectura mexicana contemporánea, en la que desempeñó un decisivo papel. Influido por las teorías del funcionalismo (que tiene como principio que el arquitecto diseñe teniendo en cuenta la función que el edificio va a cumplir) y de la arquitectura orgánica, construyó escuelas y casas-habitación, entre otras la de sus amigos Diego Rivera y Frida Kahlo. Ésta última, ubicada en San Ángel, la construyó en 1931-1932 y en ella habitaron los pintores intermitentemente a partir de 1934. En 1938 se incorporó a la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios. Entre 1949 y 1951 proyectó el edificio de la Biblioteca Central, Ciudad Universitaria, junto a los arquitectos Martínez de Velasco y Gustavo Saavedra.
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Orozco, José Clemente (1883 – 1949)
Estudió agronomía y tomó cursos en la Escuela Nacional de Bellas Artes, especialmente con Gerardo Murillo, Dr. Atl. Trabajó como ilustrador satírico en periódicos, entre 1910- 1920, durante el conflicto armado de la Revolución Mexicana. En su obra se puede notar un agudo espíritu crítico a través de caricaturas políticas y de dibujos de carácter expresionista donde capturó la cruda realidad de las prostitutas de la ciudad. En la década de los veinte pintó murales en la Escuela Nacional Preparatoria. Fue miembro del Sindicato Revolucionario de Obreros Técnicos y Pintores y colaboró en la publicación Machete. En 1946 obtuvo el Premio Nacional de Arte. Su producción mural refleja una fuerte crítica a momentos clave en la historia de México. Uno de sus murales más destacados se encuentra en su ciudad natal en Guadalajara, Jalisco, en la Cúpula del Hospicio Cabaña y se titula El hombre en llamas.
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Orozco Romero, Carlos (1896 – 1984)
Pintor y muralista tapatío destacado por sus trabajos en el extranjero y premiado tanto internacional como nacionalmente. Inicialmente se dedicó a la caricatura en periódicos como El Heraldo de México, Excélsior, El Universal Ilustrado y la Revista de Revistas, pero, posteriormente, pasó a dedicarse a la pintura. Además de ser pintor, fue uno de los principales promotores del grabado en madera y de las técnicas litográficas que aprendió en el taller de Emilio Amero. Junto con Carlos Mérida fundó la Escuela de Danza del Instituto Nacional de Bellas Artes en 1932. También fue miembro fundador de la Escuela de Pintura y Escultura “La Esmeralda” y director del Museo de Arte Moderno de la ciudad de México, dependiente del Instituto Nacional de Bellas Artes.
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Peña, Alfonso X. (1903 – 1964)
Nace en Ciudad Victoria, Tamaulipas. A finales de la década de 1930 forma parte de un grupo de artistas integrado por Rufino Tamayo, José Juan Tablada, Matías Santoyo, Adolfo Best Maugard y Miguel Covarrubias asentados en Nueva York. En 1957 asiste a la Exposición Internacional de París, donde obtiene una medalla de oro como muralista. Pintó murales en París, Caracas, Los Angeles, Mazatlán y Cuernavaca. Expuso en España, Estados Unidos, Francia e Italia. En 1950 recibe la medalla José Clemente Orozco. A pesar de la maestría de su obra y de los reconocimientos que se le hicieron en su época, Alfonso X. Peña es uno de los grandes artistas que han sido poco valorados.
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Ramos Martínez, Alfredo (1886 – 1957)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes y en París. Fue designado director de la Academia Nacional de Bellas Artes y fundó la Escuela al Aire Libre de Pintura en Santa Anita, Iztapalapa, México D.F. Expuso constantemente en México y en diversas ciudades europeas, como Madrid y Berlín. Emigró a los Estados Unidos, donde pintó varios murales y presentó diversas exposiciones. Es considerado uno de los artistas mexicanos más importantes del siglo XX.
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Revueltas, Fermín (1902 – 1935)
Nació en Durango pero estudió en Estados Unidos donde se familiarizó con las pugnas de trabajadores de la unión en Chicago, las cuales influenciaron enormemente sus ideas como artista. Cuando regresa a México se une a la revolución en la enseñanza de las Escuelas al Aire Libre de Pintura. Estuvo activo en la Unión de Trabajadores Técnicos, Pintores, Escultores y Grabadores, y adoptó las proposiciones estéticas del movimiento Estridentista, que combinaba ideas del futurismo, el dadaísmo, el ultraísmo y el constructivismo europeos. También participó en la primera etapa del muralismo, pintando una alegoría religiosa en encáustica para la Escuela Nacional Preparatoria.
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Reyes Meza, José (1924 - 2011)
Fue muralista y escenógrafo mexicano famoso por sus frescos del desaparecido Casino de la Selva, en Cuernavaca, Morelos. A la edad de 14 años ingresó en la Escuela Nacional de Artes Plásticas y, posteriormente, incursionó en el Instituto Nacional de Antropología e Historia donde fundó el Teatro Estudiantil Autónomo. También fue miembro fundador del Salón de la Plástica Mexicana y desde edad muy temprana exhibió su obra en museos y galerías de México y del extranjero.
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Rivera, Diego (1886 – 1957)
Rivera nació en la ciudad de Guanajuato, México, en 1886 y desde temprana edad comenzó a dibujar. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes como alumno de Santiago Rebull, Salomé Pina, Félix Parra, José María Velasco y Antonio Fabrés. Viajó a Europa gracias a una beca otorgada por el gobierno porfiriano, este hecho le permitió entrar en contacto con obras del Renacimiento, el cubismo y el avantgarde. Fue un destacado muralista, famoso por plasmar obras de alto contenido social en edificios públicos.Experimentó con óleos, pasteles, acuarelas, frescos, encáusticas y templessobre tela, cartón, papel y asbesto cemento. Su primer mural, La Creación, lo pintó en 1922 en el anfiteatro Simón Bolívar de la Escuela Nacional Preparatoria, actual museo del Antiguo Colegio de San Idelfonso. También fue un eminente luchador social, miembro del Partido Comunista y co-fundador de la Unión de Pintores, Escultores y Artistas Gráficos Revolucionarios.
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Rodríguez Lozano, Manuel (1896 – 1946)
Estudió en Europa donde se relacionó con los artistas de vanguardia y regresó a México en 1921. Fue crítico al muralismo hegemónico en la pintura mexicana y escéptico ante el marxismo imperante. En 1923 fue profesor de dibujo en la Secretaría de Educación Pública. En 1925 viaja a Buenos Aires y París junto a Julio Castellanos con una exposición de pintura mexicana. Realizó una serie de obras sobre el tema de la muerte, también elaboró desnudos monumentales a partir de formas geométricas elementales. En 1941 fue encarcelado por razones políticas, en prisión pintó el mural La piedad. En protesta contra el monopolio ejercido por los muralistas, se distanció de los círculos oficiales y exhibió independientemente en las galerías de la ciudad de México.
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Ruiz, Antonio “El corcito” (1895 – 1964)
Estudió en Morelia y en 1916 ingresa a la Escuela Nacional de Bellas Artes donde fue alumno de Saturnino Herrán. Se distinguió por su particular sello en el dibujo y su habilidad analítica. Fue conocido con el sobrenombre de “El Corzo” o “El Corcito” por su parecido físico a un torero español. En los años veinte viajó a Hollywood donde diseñó escenografías para los Estudios Universal. Promovió el método de dibujo de Best Maugard. En 1942 fue fundador y director de la Escuela Nacional de Pintura y Escultura “La Esmeralda.” A través de la pintura expresó su visión sobre la vida social y política de México.
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Tamayo, Rufino (1899 -1991)
Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes por un corto periodo de tiempo y fue un participante activo en el conocido renacimiento mexicano. Desde los años treinta exhibió regularmente en los Estados Unidos. Fue maestro en la Escuela de Artes Plásticas donde compartió su taller con María Izquierdo hasta 1934. Desde 1946 dio un taller de pintura en una escuela de arte en Brooklyn. Su obra refleja la sombra proyectada por la guerra y la post-guerra. Cuando tenía 80 años, el Guggenheim Museum de Nueva York le dedicó una extensa muestra retrospectiva. Donó su colección de arte moderno internacional al museo que lleva su nombre, dependiente del Instituto Nacional de Bellas Artes.
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Urueta, Cordelia (1908 – 1995)
Pintora mexicana que bajo la influencia de Tamayo fue adentrándose en el abstraccionismo. Su obra parte siempre de sus experiencias interiores y de la figura humana. Sus cuadros se alejaron de las normas artísticas imperantes y reflejan su constante búsqueda por integrar un lenguaje de color en sus representaciones. Fue también profesora y promotora artística. Expuso en diversos países como Francia, Israel, Escandinavia , Perú , Honduras , Japón y Estados Unidos. Actualmente parte de su obra se encuentra en el Museo de Arte Moderno de la ciudad de México.
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Zalce, Alfredo (1908 – 2003)
Fue una de las figuras más importantes del arte moderno mexicano, perteneciente a la segunda generación de muralistas. Los paisajes, mercados rurales, mujeres indígenas y animales de la región son temas constantes en su obra. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes bajo la tutela de Germán Gedovius y Diego Rivera. Es autor de múltiples obras localizadas en Michoacán, México, entre las que destacan los murales ubicados en el interior de Palacio de Gobierno, en los que plasmó diferentes aspectos de la vida de los indígenas michoacanos. En 1930 fue encomendado para fundar la Escuela de Pintura de Taxco. Su excelente trabajo gráfico muestra el estudio de los litógrafos y caricaturistas del siglo XIX.
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Zárraga, Ángel (1886 – 1946)
Estudia en la Escuela Nacional de Bellas Artes donde conoce a Diego Rivera y se convierte en alumno de Santiago Rebull, José María Velasco y Julio Ruelas. Pasó más de la mitad de su vida en el extranjero, exponiendo con éxito en España, Italia y Francia. Investigó las teorías del cubismo, adoptó las ideas de Cézanne y Giotto y pintó murales en el Castillo de Vert Coeur. En 1927 decoró la Legación Mexicana en París. De regreso a México monta un estudio donde imparte clases y pinta algunos retratos y murales.
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Zúñiga, Francisco (1912-1998)
Nació en Costa Rica en 1912 y trabajó como asistente en el estudio de escultura religiosa de su padre en su tierra natal. En 1936 se traslada a México donde estudia arte formalmente en La Esmeralda, en colaboración con Antonio Ruiz “El Corcito”, el escultor Oliverio Martínez y el pintor Manuel Rodríguez. Entre 1938 y 1970 realizó numerosos monumentos públicos para el gobierno. En 1972 creó su primera litografía en la cual conjugaba la sensibilidad y la sensualidad de la figura humana.
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Escultura
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Bracho, Carlos (1899 – 1966)
Perteneció a una generación de escultores que rompieron con los tradicionales cánones académicos. Estudia en la Escuela Nacional de Bellas Artes y en 1922 obtiene una beca para continuar sus estudios en París. Después de esa temporada fuera del país, regresa a México donde instaura su taller y realiza algunas esculturas para parque públicos. Realizó monumentos a personajes claves de la historia mexicana, desde músicos, poetas, juristas o políticos. Paralelamente a su actividad escultórica, tuvo una larga labor docente y fue miembro fundador del Seminario de Cultura Mexicana y del Ateneo Veracruzano.
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Canessi, Federico (1906 – 1977)
Ha sido uno de los escultores de mayor trayectoria en México. Nació en el DF y estudió escultura en la Escuela Nacional de Bellas Artes al lado de Luis Ortiz Monasterio. También estudió en Estados Unidos y en Europa. A su regreso a México fue maestro en la Escuela Central de Artes Plásticas de la UNAM, colaboró con Oliverio Martínez en la elaboración del Monumento a la Revolución e intervino en el proyecto de la rotonda de los Hombres Ilustres de la capital del país. Realizó a lo largo de su carrera esculturas en madera, piedra, terracota y bronce, así como escultura monumental y murales en relieve. En 1968 ingresó a la Academia de Artes como miembro fundador junto con Luis Ortiz Monasterio.
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Cordero Torres, Juan Leonardo (1896-1960)
Escultor y pintor mexicano nacido en la Ciudad de México en el año de 1896. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes y en Europa. Desarrolló una fructífera carrera docente, dando clases de perspectiva y geometría descriptiva. Fue aficionado al teatro, creando un foro movible que facilitaba apariciones y fugas repentinas, e incursionó también en el cine. Realizó esculturas de políticos, militares y estadistas como Sóstenes Rocha, Benito Juárez, José Martí, así como de los próceres de la Independencia Mexicana.
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Cueto, Germán (1893 – 1975)
Pintor, escultor y titiritero mexicano. Inició estudios de química que dejó inconclusos para viajar a España. A su regreso a México en 1918 decide ser escultor y estudia por poco tiempo en la Escuela Nacional de Bellas Artes, después continuaría sus estudios de manera autodidacta. Junto con su esposa, la pintora y titiritera Lola Cueto, vivió en París desde 1927 hasta 1932, donde tuvo contacto con el mundo artístico de la época, especialmente con el grupo “Cercle et Carré”. Cueto se adhiere a la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios. Es reconocido no sólo por su escultura o su obra gráfica, sino por su aportación a las artes del espectáculo (teatro) y a la enseñanza. En 1948 es por un tiempo director del Instituto de Danza del Palacio de Bellas Artes.
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Marín, Francisco Arturo, (1907 – 1979)
Artista mexicano nacido en Jalisco, México, considerado uno de los máximos representantes de la escultura moderna mexicana. Inició su formación en medicina y posteriormente estudió grabado en madera con Carlos Orozco Romero en la ciudad de Guadalajara, Jalisco. Tomó clases de talla directa en madera con el escultor León Múñiz y de modelado con el escultor Luis Ortiz Monasterio. Su obra rinde un homenaje a la tradición de la cultura prehispánica, con especial interés en composiciones con temas sobre la maternidad. Supo combinar sus conocimientos de la anatomía humana con la escultura, creando una original propuesta plástica que conjuga la ciencia con el arte.
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Martínez, Oliverio (1901 – 1938)
Estudió en el Instituto Nacional de Bellas Artes donde ganó la primera competencia de escultura de su escuela. Su primera obra en bronce fue realizada en 1930 para su natal estado de Coahuila. El 12 de septiembre de 1933 el Comité de Consejo para el Monumento a la Revolución abrió un concurso para las esculturas que adornarían dicha estructura, Martínez ganó el concurso por su diseño Transformación. Durante los diez años que estuvo activo, sus esculturas de piedra monumentales y sus bronces ayudaron a formar el lenguaje escultural del México post-revolucionario.
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Ortiz Monasterio, Luis (1906 – 1990)
Escultor y académico mexicano. En 1920 cursó un año en la Escuela Normal para Maestros y estudió dibujo, grabado y escultura en la Escuela Nacional de Bellas Artes. Lo clásico y lo geométrico fueron las características de Ortiz Monasterio en sus inicios. Realizó su primera exposición individual en la Book Shop Gallery, y posteriormente otra en la Gump´s Art Gallery en San Francisco. En México impartió clases y esculpió obras monumentales por encargo. Una de sus obras más importantes es el Monumento a la Madre en la Ciudad de México.
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Rozo, Rómulo (1899 – 1964)
Escultor y pintor de origen colombiano. Vivió gran parte de su vida en México donde desarrolló una notable carrera artística. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes de Bogotá y en Europa. Su estancia en México se inició cuando fue nombrado agregado cultural de la Embajada Colombiana. Poco después, la Secretaría de Educación Pública lo invitó a colaborar como maestro de escultura en sus escuelas. También fue maestro en la Escuela Central de Artes Plásticas. Como escultor cultivó principalmente la temática indigenista inspirada en la prehistoria colombiana y mexicana.
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Tamariz, Ernesto(1904-1988)
Pintor y escultor que buscó la creación de una identidad nacional y que fomentó la escuela nacionalista mexicana dentro de las diversas expresiones artísticas. Se destacó por su gran dominio de las texturas y su manera de plasmar el movimiento. Le fue encargada la elaboración de grandes monumentos en diversas plazas públicas del país como el Monumento a los niños héroes en el bosque de Chapultepec de la Ciudad de México o el Monumento a la Victoria del 5 de Mayo, en la Ciudad de Puebla.
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Fotografía
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Álvarez Bravo, Manuel (1902 – 2002)
Es uno de los fundadores de la fotografía moderna y es considerado como el mayor representante de la fotografía latinoamericana del siglo XX. Tuvo un temprano acercamiento a la cámara fotográfica y exploró de manera autodidacta procedimientos como técnicas. Es reconocido por plasmar el paisaje y la gente de su país, México, con maestría y originalidad. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes y en 1923 conoció al fotógrafo alemán Hugo Brehme, quien lo incitó a comprar su primera cámara. Se relacionó con Tina Modotti, Diego Rivera y Pablo O’Higgins quienes lo estimularon ideológica y políticamente. Sus fotografías plasman la cultura e identidad mexicanas, desde la vida urbana y la de los pueblos, hasta las tradiciones populares. En 1930 Tina Modotti le hereda su trabajo en la revista Mexican Folkwaysdonde tuvo la oportunidad de fotografiar a los muralistas más importantes de la época.
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Elisofon, Eliot (1911 – 1973)
Fotógrafo y reportero gráfico norteamericano miembro del famoso Photo League. Este grupo, que estuvo activo desde 1936, incluye entre sus participantes a algunos de los fotógrafos americanos más notables del siglo pasado como Arthur Leipzig, Jerome Liebling, Ruth Orkin o Paul Strand, entre otros. En ella los fotógrafos compartían sus intereses artísticos y sociales. Elisofon fue de los miembros más productivos al dar varias conferencias, realizar proyectos, impartir cursos y participar en numerosas exposiciones. Sus fotografías sobre África son consideradas un testimonio invaluable sobre la vida y las tradiciones de los pueblos que habitaban esa región.
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Matiz, Leo (1917 – 1998)
Fue uno de los fotógrafos colombianos más importantes del siglo pasado. Nació en una pequeña aldea de Colombia y, al mudarse a Bogotá, desarrollo una importante carrera como reportero gráfico. Viajó de manera infatigable por los cinco continentes y se empeñó en retratar los instantes que conforman la vida humana. No solo se dedicó al fotoperiodismo sino que también se interesó por la fotofija en el cine, la fotografía publicitaria y el arte hasta el punto de fungir como fundador de algunas galerías de arte. Por su labor artística obtuvo diversos reconocimientos como el premio Chevalier des Arts et des Lettres, concedido por el gobierno francés en 1995 y en 1997 el Filo d` Argento en Florencia, Italia.
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Modotti, Tina (1896 – 1942)
Nació en Italia pero emigró a los Estados Unidos cuando era muy joven. En este país aprendió a usar la cámara fotográfica. En 1922 llegó a México donde conoció a Diego Rivera y David Alfaro Siqueiros. A principios de 1930 fue expulsada de México por sus afiliaciones comunistas y fue acusada injustamente de conspirar para asesinar al Presidente mexicano Pascual Ortiz Rubio.Regresó a México en 1939 y continuó con su actividad política y artística. Sus fotografías plasmaron la realidad que se vivía en México, en especial, el desarrollo del movimiento muralista.
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Paul Strand (1890 – 1976)
Fue uno de los precursores de la «fotografía directa» junto a Alfred Stieglitz y otros fotógrafos de la “Photo-Secession” y la “Galería 291”, además de un reputado cineasta. Su primer acercamiento a la fotografía fue en la escuela y desde temprana edad supo que quería dedicarse a ella. Durante sus viajes a México fotografió lo más característico del arte popular, de las tradiciones, del paisaje y de la arquitectura. Produjo el famoso film Redes que muestra la vida de un pueblo de pescadores -en Alvarado, Veracruz- que toma conciencia de su condición. Este film fue dirigido por Fred Zinnemann (1907-1997) y Emilio Gómez Muriel (1910-1985), tiene una duración de 65 minutos y Strand fungió como guionista y fotógrafo.
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Weston, Edward (1886 – 1958)
Fotógrafo estadounidense co-fundador del Grupo f/64 y precursor de la «fotografía directa». Desde temprana edad se destacó por su trabajo artístico en fotografía en blanco y negro y, posteriormente, su trabajo fue adquiriendo un tono más abstracto. En 1921 conoció a Tina Modotti y, entre 1923 y 1925, mantuvo un estudio en México y se relacionó con los movimientos artísticos del momento. La influencia de su amigo, el pintor Diego Rivera, supuso un cambio completo en su estilo. El 12 de abril de 1924 expuso una serie de fotografías con tema industrial donde se dieron cita artistas de diversas nacionalidades que en ese momento se encontraban en México.
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Descarga de contenidos
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Dossier de la exposición
Como apoyo a los visitantes se genero una edición especial del Periódico Munal, con una extensión de 12 paginas en las que se abordan temas que acercaran al lector y visitante con facetas desconocidas de Rubén Herrera.
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CRÉDITOS
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L’ART MEXICAIN 1920 - 1960
ELOGE DU CORPS30 juin - 6 octobre 2013
Le Bellevue, Biarritz
Merci également à :
L’équipe du Service des Affaires culturelles de la Ville de Biarritz :
Marie-Hélène Labasse, Pascaline Serenari, Hélène Girard, Le Centre technique municipal et son directeur Gérard Gostisbehere, Le Service Communication et sa directrice Claire Ripert.
Aux ayants droits et galeristes :
Aux directeurs des musées et aux institutions publiques:
Et à tous les collectionneurs qui ont souhaité garder l’anonymat. -
Commissaires de l’exposition
• Sergio Raúl Arroyo
• Miguel Fernández Félix
Coordination technique, recherche et lien avec les collectionneurs
• María Estela Duarte
• Ariadna Patiño Guadarrama
Assistance
• Julia Martínez Cepeda
• Ximena Molina Petrich
• Brenda Nazario León
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Scénographe
• Juan Manuel Garibay, (México)
Micrositio
• Carlos Morales Paco
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